Pour la troisième année consécutive, un collectif de photographe organise Prints for Wildlife, une vente de tirages photos d’animaux sauvages. Les bénéfices de cette opération qui a lieu du 28 aout au 25 septembre iront à l’ONG African Parks, qui gère des réserves naturelles sur le continent.
Ce sont des clichés inédits et à couper le souffle, que l’on peut s’offrir tout en finançant la protection de la faune en Afrique. Pour la troisième année consécutive, l’opération Prints for Wildlife a été lancée par les photographes Marion Payr et Pie Aerts. Cette grande vente en ligne d’une centaine de clichés d’animaux sauvages, a pour but de lever des fonds, qui seront redistribués à l’ONG African Parks.
« African Parks, et son approche communautaire de la conservation, veille à ce que les zones protégées qu’il gère soient des lieux sûrs où la faune et la flore sauvages peuvent s’épanouir. Dans des endroits sûrs, des choses magiques peuvent se produire «
Cette année, Prints For Wildlife compte dans son catalogue les clichés de célèbres photographes animaliers comme Will Burrard-Lucas ou bien Beverly Joubert. Les photos sont proposées au prix unique de 100 dollars, auquel il faut rajouter les frais de port. Chaque photo est disponible en seulement 100 exemplaires. Elles représentent des animaux du monde entier, et ne se limitent pas seulement à la faune africaine.
Gérer et ouvrir de nouvelles réserves naturelles.
Depuis sa première édition, Prints for Wildlife a levé 1,75 millions de dollars. Cette somme a servi à la gestion et la création de réserves naturelles en Afrique. L’ONG administre pour l’instant 11 de ces parcs, notamment en Zambie, au Rwanda ou au Malawi. Ces actions de protection s’accompagnent de campagnes visant à soutenir l’éducation et l’emploi dans ces zones.
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« African Parks, et son approche communautaire de la conservation, veille à ce que les zones protégées qu’il gère soient des lieux sûrs où la faune et la flore sauvages peuvent s’épanouir. Dans des endroits sûrs, des choses magiques peuvent se produire », explique notamment la photographe Pie Aerts, dans un communiqué.