Le 9 février, la revue HAS propose une conférence en ligne consacrée à l’éco-anxiété et au pouvoir des nouveaux récits. La discussion réunira la danseuse Anna Chirescu, le chercheur, poète et essayiste Marc-Williams Debono, l’artiste plasticienne Elsa Guillaume et la praticienne en psychothérapie Charline Schmerber. Un événement gratuit, sur inscription.
Depuis plusieurs années, des études et témoignages tentent de définir clairement l’éco-anxiété, ce sentiment d’angoisse intense lié à la dégradation de notre environnement. Réchauffement climatique, fonte de la banquise, effondrement de la biodiversité, catastrophes naturelles… Les actualités ne manquent pas pour justifier cette impression d’insécurité et surtout d’impuissance face aux évolutions climatiques.
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Comment appréhender ce sentiment pour agir concrètement ? Pouvons-nous dépasser le déni, la paralysie ou l’angoisse de finitude, afin d’imaginer individuellement et collectivement de nouveaux récits et réinventer un avenir ? C’est à ces questions que tenteront de répondre les intervenants de la conférence « L’éco-anxiété, entre anxiété et espoir », organisée par la revue HAS, le 9 février à 18h sur la plateforme Zoom.
Le rôle des nouveaux imaginaires
Quatre invités seront réunis autour de la table pour échanger sur le sujet : la danseuse Anna Chirescu, le chercheur en neurosciences, poète et essayiste Marc-Williams Debono, l’artiste plasticienne Elsa Guillaume et la praticienne en psychothérapie Charline Schmerber.
Ensemble, ils discuteront des bouleversements engendrés par les menaces environnementales sur l’art et la culture et sur le rôle de l’artiste pour contrer l’éco-anxiété grâce à de nouveaux imaginaires.
Pour participer à la conférence, envoyez un e-mail à cette adresse. Pour lire la dernière revue HAS, cliquez ici.