u Dans le cadre du 2030 Festival organisé par Pioche!, l’agence Patte Blanche et Pléiade production, la Halle Tropisme de Montpellier accueille un grand week-end de réflexion, de fête et de mobilisation pour imaginer (et faire) la ville de demain. Au programme : une vélo-parade, des conférences et des ateliers participatifs, clôturés en beauté par les concerts de Fakear et Deborah Aime la Bagarre.
Après une semaine de rencontres dispersées partout dans la ville, le 2030 Festival prendra ses quartiers à la Halle Tropisme de Montpellier du 30 juin au 2 juillet. Le temps d’un week-end, artistes, citoyen·nes et acteur·rices engagé·es traceront ensemble les contours de leur ville idéale, avant de mettre la main à la pâte pour la faire advenir.
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« Quel Montpellier en 2030 ? » Vendredi 30 juin, à 18h, la conférence inaugurale ouvrira la discussion collective autour du pionnier des Villes en transition Rob Hopkins (en vidéo), de Féris Barkat, fondateur de Banlieues Climat, de l’écrivaine Sophie Rabhi-Bouquet et d’Alan Vergnes du Living Lab de Montpellier.
Samedi 1er juillet, une grande parade à vélo, marque de fabrique de l’association Vélocité, réveillera la ville en musique. On peut compter sur le DJ set de Caswell Vera et le soundsystem mobile Pikip Solar Speakers pour ambiancer la foule de cyclistes avec une techno made in Montpellier.
En début d’après-midi, les discussions de la veille prendront corps dans l’atelier participatif 2030 Glorieuses, introduit par un icebreaker géant. Portés par l’infatigable Julien Vidal, les participant·es libéreront leurs imaginaires autour d’une vi(ll)e durable et désirable à l’horizon 2030. Une expérience collective, créative et plus que jamais nécessaire. Puis place au « faire » avec des ateliers pratiques (nichoirs, seed bombs…) rythmés par les sets de DJ locaux.
Mais que serait un festival sans soirées mémorables ? Avec Fakear et Deborah aime la bagarre, le 2030 Festival met à l’honneur deux artistes aussi engagés que talentueux. Programmé le vendredi soir, le premier a choisi de sortir des majors pour revenir à une musique indépendante et pleine de sens, à l’image du titre Odyssea avec Camille Etienne sur son dernier album Talisman. Le second cumule ses activités de DJ et producteur avec un engagement sans faille au service de la sensibilisation écologique chez MakeSense. Samedi soir, il emplira la Halle tropisme de sa house chaleureuse, tirée de son premier album Superfluous aux influences jazz, breakbeat et disco.
Pour plus d’informations sur le 2030 Festival, rendez-vous sur le site et les réseaux de l’évènement.
